Retrouvez ci-dessous la liste de toutes les pièces jouées par la Troupe ATOUCOEUR
    (Pour avoir un résumé de chaque pièce, cliquez sur son titre...)
  
  
    Saison 2007 : Hommage à Marcel Pagnol
    Cette année, pour sa première partie de soirée, la troupe à rendu hommage à Marcel Pagnol en interprétant 3 extraits de ces plus célèbres films.
    
      Saison 2006 : Reprise de sketchs comiques
      Le rappeur - La jalousie - Les modes d'emploie - La cigarette
     
    
      Saison 2006 : Extrait de "La femme du boulanger", de Marcel Pagnol
      La troupe interprète sur scène la scène final du film de Pagnol "La femme du boulanger", ou le boulanger Amable s'adresse à Pomponnette, sa chatte volage, en lieu et place de son épouse à ses côtés.
     
    
      Saison 2005 : Tout bascule (Olivier LEJEUNE)
      Qu'est-ce qui peut bien pousser un homme à divorcer deux heures après s'être   marié ? Un déferlement de rebondissement et de quiproquos ahurissants, des   répliques percutantes, tels sont les ingrédients de cette comédie à l'anglaise   résolument moderne où sept personnages se déchaînent à un rythme   d'enfer.
      Lasségué, publicitaire renommé, s'est résigné à épouser Corinne. A   la sortie de l'église, Lucie, sa sœur aînée, gaffeuse invétérée, lui a logé dans   l'œil un grain de riz. Le début d'un engrenage de catastrophes et de quiproquos   détonants qui l'empêchent d'assister à son banquet de noce. L'intrusion de   Tourille, mari d'Emmanuelle, sa maîtresse, venu lui apprendre sa mort   accidentelle. L'arrivée de Rolors, présidentiable, qui met fin à leur   collaboration professionnelle. Querrochot, journaliste local, dépassé par les   événements. Deux heures en continuité réelle de rebondissements endiablés.   Jusqu'au bout, tout bascule !
     
    
      Saison 2005 : Une cure de tout repos (Alain DANIF)
      Un curé vient de quitter sa paroisse, et on attend son remplaçant. Au même   moment, un voleur « pas très futé » pénètre les lieux, mais se fait surprendre   par la bonne. Pour ne pas avoir de souci, pas le choix : il se fait passer pour   le nouveau curé ! Le voilà alors obligé de confesser tout un tas d'individu   aussi excentriques les uns que les autres ce qui, pour un voleur, n'est pas une   cure de tout repos !
     
    
      Saison 2004 : Le saut du lit (Ray COONEY et John CHAPMAN)
      Un couple sans problème, Josiane et Philippe, aménage leur appartement - le   décorateur est là depuis 3 mois et est amoureux d'une jeune fille au pair. Bonne   nouvelle pour eux deux, les patrons vont dîner ce soir en ville. 
        Une amie de   Josiane lui demande de pouvoir occuper l'appartement pour la soirée et le   collègue de Philippe désire également passer quelques bons moments en galante   compagnie le même soir.
      Un appartement pour trois rendez-vous simultanés.   Chassés-croisés, rythme endiablé, quiproquos, tout le monde se fait passer pour   quelqu'un d'autre - on ne sait plus qui est qui pour le grand plaisir des   spectateurs.
     
    
      Saison 2004 : Les zemes (Jean-Michel BESSON)
      Le baptiste ne va pas bien fort. Sa femme, la Toinette, ne trouve rien de mieux   que d'appeler le vétérinaire, qui passe par-là ! Celui-ci se fait un peu tirer   l'oreille puis accepte d'écouter les symptômes du mal. Le Baptiste est très gêné   pour expliquer ses ennuis de santé, car le pharmacien lui a dit qu'il a des   "zèmes". Et très mal placés : des "zèmes" au "roïde" ! Le traitement qu'il a   suivi jusque là s'étant révélé inefficace et... douloureux (régime sans sel) que   le Baptiste a traduit par " sans selle... de vélo". Le vétérinaire va lui faire   essayer autre chose : des suppositoires. Nous ne vous révélerons pas le   dénouement pour vous en laisser la surprise.
     
    
      Saison 2003 : Quel famille ! (Francis JOFFO)
      Denise et Raymond ont une fille, Michèle. Quand Michèle a épousé Bernard,   elle a eu la chance de trouver un appartement dans la même rue que ses parents : 
        un vrai bonheur pour cette famille qui s'entend si bien. Jusqu'au jour où   Denise prend l'habitude de venir se réfugier chez sa fïlle chaque fois qu'un   petit différend l'oppose à son mari. ... 
        Et les petits différends devenant   de plus en plus fréquents, le bureau de Bernard se transforme petit à petit en   résidence secondaire pour sa belle-mère... Mais, cette fois-ci, quand le rideau   se lève et que Denise entre pour la énième fois chez sa fille, sa valise à la   main, la situation est beaucoup plus grave : elle annonce à sa fille son   intention de divorcer après quarante ans de mariage ! 
        Michèle est effondrée.   Elle ne va plus cesser de l'être quand son grand-père va débarquer 
        de la   Nièvre, avec, lui aussi, l'intention de se séparer de sa femme ! Et quand sa   fille Annie et son gendreFranck débarquent de voyage de noces avec la même   intention, la situation va singulièrement se compliquer, entraînant un immense   déballage de linge sale...en famille...
      Mais quelle famille !
     
    
      Saison 2003 : La course à l'héritage (Yvon TABURET)
      "Vous avez été choisi(e) pour être l'héritier d'une grande fortune, si la   proposition vous intéresse, présentez-vous au 32 allée des mimosas." Tout le   monde a un jour rêvé de recevoir une telle proposition, mais lorsque plusieurs   postulants reçoivent le même courrier, comment les départager ? Les malheureux   candidats l'apprendront parfois à leurs dépens. Dans cette "course à l'héritage"   ils auront à subir un certain nombre d'épreuves toutes plus incongrues les unes   que les autres. Ainsi Eléonore, la vieille fille coincée, se retrouvera déguisée   en Zorro, Georgette l'aguicheuse en Chaperon Rouge, alors qu'Henri l'agriculteur   se déguisera en bébé, sa mère devra endosser un habit de mousquetaire tandis que   Gino le hâbleur enfilera collants et tutu… Jusqu'où peut-on aller pour   s'enrichir ? Qui tire les ficelles de tout cela ? Un heureux dénouement nous   l'apprendra. Des situations aussi cocasses que les dialogues dans cette joyeuse   comédie où la seule difficulté sera d'éviter que les comédiens ainsi affublés ne   rient plus fort en coulisses que dans la salle.
     
    
      Saison 2002 : Maman, y'a papa qui bouge encore ! (Jacques Thareau et Jean-Michel Besson)
      L'enfer, est, dit-on, pavé de bonnes intentions. C'est ce que doit penser   Félix lorsque, dans son univers feutré et masculin, déboulent Donatienne et sa   fille Clémentine ! Lui, est une ancienne gloire de la danse. Elles, sont les   deux seules femmes de sa vie, qu'il a fait rechercher pour soulager sa   conscience : Donatienne fut un petit rat de l'Opéra qu'il séduisit, engrossa et   abandonna. Au soir de son existence, il a décidé de leur léguer sa belle maison   de Neuilly. Fred, son secrétaire très particulier et compagnon très cher, craint   le pire. Et il a bien raison ! C'est que le petit rat est devenu une maîtresse   femme, virago tonique et forte en gueule. Avec sa fille Clémentine - toute jeune   maman d'un garçonnet - elles survivaient jusqu'alors dans une caravane délabrée   sur un terrain vague de banlieue, à coups d'arnaques minables. C'est dire que la   maison de Neuilly est pour elles, providentielle ! Et ce, d'autant plus qu'elles   sont sous le coup d'une enquête sociale, diligentée par une vieille fille   acariâtre qui s'est promis d'arracher le bébé à une telle promiscuité. Mais le   doute s'installe : Donatienne est-elle bien Donatienne ? La promesse d'héritage   s'éloigne, et le temps presse ! Du coup la terrible grand-mère se déchaîne et   révèle d'étonnantes dispositions de véritable 'serial killer'. Bref, un   thriller. Mais un thriller pour rire ! Une comédie d'humour noir, où le noir est   toujours jubilatoire et l'humour désopilant. Des personnages avec de sacrés   tempéraments, déjà pas tristes en eux-mêmes, et dont la rencontre prend les   allures d'un cataclysme irrésistible ! C'est tonique, original et décoiffant ! A   lire absolument ! Et à jouer ! Puisqu'il faut bien mourir de quelque chose,   autant mourir de rire.
     
    
      Saison 2002 : A qui la vache ? (Pierre THOMAS)
      Pour être sûr d'avoir du lait pur, non écrémé, M. Ronchon a acheté une   vache. Mais sa fille Sophie ne songe qu'à se débarrasser de cette bête bruyante   et encombrante, qui n'est pas vraiment à sa place chez de bons et paisibles   bourgeois. Aussi a-t-elle fait paraître une annonce dans le journal. Un acheteur   se présente. Il est reçu par M. Ronchon qui, ignorant la détermination de sa   fille, a fait lui-même passer une annonce pour marier Sophie. Alors, c'est une   conversation qui n'est qu'un feu roulant de quiproquos d'une drôlerie   irrésistible. Quelques minutes après, un jeune homme, M. Roméo, se présente au   sujet de l'annonce de M. Ronchon. C'est Sophie qui le reçoit s'imaginant qu'il   vient pour la vache.
     
    
      Saison 2001 : L'arbre à came ou Nous n'irons plus au bois (Jacques Thareau et Jean-Michel Besson)
      Nous sommes au milieu des années soixante. Trois marginaux, mi-hippies,   mi-voyou, s'installent à la ferme du Baptiste, de Marie sa femme et de   Marie-Jeanne leur fille. Il y a également la grand-mère, Mélanie, sourde comme   un pot. La famille a aussi un domestique qui n'a pas inventé l'eau chaude : le   Jeantou. Une simple panne de tracteur va entraîner le public de quiproquo en   quiproquo. L'axe du tracteur, ou "arbre à came", qui s'est rompu, font croire au   3 hippies que le Baptiste a un arbre où pousse de la "came", sorte de végétal   qui leur est très interressant. Entre leurs tentatives de découvrir cet arbre,   les propos burlesque du Jeantou, les dégâts d'une tempête, un assureur qui a du   mal a se faire écouter et une grand-mère qui n'est pas si sourde que ça, et   s'est parti pour deux heures de bonne humeur et de rires garanties !
     
    
      Saison 2001 : Clerc de l'urne (Jean-Michel BESSON)
      Une veuve très bavarde et sa sœur abominablement sourde, la Tonine et la   Gustine, vont voter pour la première fois. Jusqu'à ce jour, la chose les avait   toujours effrayées. Bien sûr, elles ne savent ni pour qui voter, ni comment   faire ! Et ce n'est pas triste ! A vous d'en juger !
     
    
      Saison 2000 : Vacances de rêves (Francis JOFFO)
      Jacques Perthuis et sa femme Dominique arrivent, tôt le matin, dans une villa   sur la Côte d'Azur qu'ils ont louée pour un mois, avec deux amis : Patrick et   Marie. Ils connaissent parfaitement cet endroit pour l'avoir déjà habité l'année   précédente, et ils pensent être ainsi à l'abri de toutes les mauvaises surprises   qui arrivent généralement quand on occupe une maison pour la première fois. Une   série de catastrophes va s'abattre sur eux dans les deux heures qui vont suivre   leur arrivée, et va les entraîner dans une folle aventure qu'ils étaient loin   d'imaginer. Il n'y aura que les spectateurs pour en rire !... et même pour   éclater de rire !!
     
    
      Saison 2000 : Je vais tout vous expliquer (Martine HUET)
      Depuis un an à Paris, Laurent Grovet mène une vie tranquille. Maman n'écrit   jamais mais téléphone toutes les semaines et lorsqu'elle lui demande pour la   centième fois s'il fréquente une jeune fille, Laurent craque. " Oui ! Maman j'ai   rencontré l'âme sœur ! " Voilà ! C'est dit ! Bon d'accord ! C'est un mensonge et   alors ?... Alors ! Papa maman arrivent demain pour connaître l'heureuse élue. Ah   ! Oui ! Je ne vous ai pas dit ! Ses parents croient qu'il habite dans le 16ème   alors qu'il loue une chambre de bonne dans le 20ème. Son ami Dominique de la   Batelière, pourrait l'aider, il habite justement dans le 16ème. Mais pour ce qui   est de lui prêter sa dernière conquête, pas question ! Pensez ! Lui, le tombeur   de ces dames en est amoureux. En y regardant de plus près, il y aurait bien une   solution. Bon ! D'accord ! il y a du boulot, mais comme dit Laurent... C'est   faisable ! Dominique sera pour quelques jours, la fiancée de Laurent. C'est juré   personne ne l'apprendra ! Enfin ! quand je dis personne !... Il y a bien   l'artiste efféminé et son modèle un tantinet nymphomane, qui envahissent   l'appartement. Dominique avait complètement oublié la séance de poses.   Catastrophé, il se dit qu'il ne peut pas y avoir pire !... Si, si !
     
    
      Saison 1999 : Têtes à claques (René BRUNEAU)
      Vers 1900, une Demoiselle de province très cocardière hérite, à Paris, d'un   orphelinat pour jeunes filles : plutôt mélo ! En réalité, l'orphelinat est une   maison... très spéciale, un "claque" réputé, fréquenté par les officiers de   l'Etat-Major et des diplomates. Déjà plus drôle ! Si d'aventure, notre   provinciale décide de visiter son orphelinat, et que du coup les demoiselles de   petite vertu sont contraintes, pour conserver leur maison, de jouer les   pathétiques orphelines (alors que bien sûr, les "messieurs" eux, ignorent tout)   ça vire rapidement à la plus joyeuse pagaille. Si, en outre, la bonniche de "la   maison close" est d'une nature tonitruante et sacrement gaffeuse, si parmi les   filles se cache une Mata-Hari friande de secrets militaires, traquée par un   agent secret un peu méchant et surtout très bête, si le Préfet de police, qui   dirige l'enquête, se prend de passion pour la Demoiselle de province qu'il croit   être une des "pensionnaires" de la maison, puis entreprend de faire d'elle par   patriotisme la tenancière de l'endroit, si dans ce charivari débarque un vieux   Duc anglais, et que Scotland Yard s'en mêle, tout ça transforme la scène deux   heures durant, en la plus jubilatoire des pétaudières dans une tornade de   quiproquos, de bévues, de rencontres inattendues et de coups de théâtre. Le   sujet est original et permet quelques joyeux numéros d'actrices. Surtout, qu'on   ne s'y trompe pas : il s'agit d'une pièce destinée à tous les publics, d'une   pièce vraiment très très drôle, sans équivoque aucune, jamais scabreuse, et qui   baigne dans la plus franche hilarité !
     
    
      Saison 1998 : J'y suis, j'y reste (Raymond VINVI et Jean VALMY)
      Dans un château du Périgord, règne la Comtesse Apolline de Mont-Vermeil,   despotique, allurale et un tantinet hurluberlue. Tout se ploie devant elle,   depuis son charmant neveu vétérinaire jusqu'à la belle et ambitieuse Gisèle,   demoiselle de compagnie, jusqu'à la jolie soubrette (cervelle de linotte et cœur   de moineau), jusqu'au digne majordome... Digne ? Hum ! Il y a dans l'œil de ce   zélé serviteur une lueur canaille. Ayant réussi à donner à la Comtesse le goût   des courses, il lui conseille cyniquement, tous les toquards et non moins   cyniquement, encaisse les paris de sa patronne au nom d'un bookmaker imaginaire   ! Et voici que vont faire irruption dans le noble manoir deux personnages peu   aristocratiques: tout d'abord Antoinette, dite Nénette, propriétaire d'un   restaurant-bistrot des Halles, plantureuse créature dans les veines de laquelle   coule à coup sûr le sang de la mère Angot et de sa cousine "jumelle" Madame   Sans-Gène... et puis, Jules, un gars costaud et "sympa" qui n'a de penchant ni   pour les cravates, ni pour les belles manières et qui est à la fois le barman du   caboulot géré par Nénette et le fiancé de la patronne. C'est lorsqu'elle a voulu   passer des fiançailles aux épousailles que Nénette a appris avec stupéfaction   que pour l'état civil elle était déjà mariée... avec le Baron Hubert de   Mont-Vermeil qu'elle n'a jamais vu ! A la vérité, ses papiers d'identité lui ont   été volés naguère et grâce à eux, une inconnue a pu se faire épouser sous son   nom par le naïf Baron, puis elle a disparu dans le maquis de l'Aventure ! En   venant au château des Mont-Vermeil, Nénette s'imaginait un divorce amiable mais   il ne peut être question de divorce chez les Mont-Vermeil. Et ce jour-là moins   que jamais, car on attend un visiteur de marque, le Cardinal de Tramone,   conseiller de sa Sainteté.
     
    
      Saison 1998 : Ca, c'était pas prévu (Gabrielle WOLF)
      Un matin, dans une famille où tout le monde cohabite sans vraiment se   comprendrent, le père est retrouvé mort poignardé dans sa chambre. Commence   alors un enquête mené par la fille au milieu de sa mère qui cache des choses, de   son grand-père qui croit que tout le monde en veut à son argent, d'une cousine   allemande venue rendre visite le même jour, d'une bonne qui en sait plus qu'elle   n'en dit, et d'un facteur qui cherche désespérement à distribuer son courrier !   Une enquête drôle et finement mené par une jeune fille qui croit tout contrôler   mais pour qui rien n'arrive comme prévu !
     
    
      Saison 1997 : Robert, t'es bon pour l'academie ou HEC (Dany TOUSSAINT)
      Un directeur de collège se voit obligé, par directive ministérielle,   d'organiser des cours du soir pour adultes dans son établissement avec les   professeurs en place. Habitués à un enseignement pour enfants, les professeurs   accueillent la nouvelle plutôt sereinement et définissent les disciplines qu'ils   dispenseront : mathématiques, français, musique et gymnastique ; leur   enthousiasme va bien vite s'estomper car ces futurs élèves sont de drôles   d'écoliers venant plus se distraire qu'apprendre : René, l'ouvrier garagiste du   village qui ne jure que par ses "bagnoles", Robert, éleveur de cochons à la   ferme des Grandes Tricottières et Mlle Sauvageot, camelot célibataire qui a   roulé sa bosse sur toutes les foires et marchés. Le spectateur assiste aux   différents cours, et quels cours ! René, Robert et Mlle Sauvageot en séances de   gym, on en redemande ! Le débat organisé en cours de français sur la "femme en   général" est un peu grivois, il fallait oser ! Les exercices de calcul mental ne   laisseront pas indifférents, c'est le moins qu'on puisse dire ! Les cours du   soir, comme le nom l'indique se situent en fin de journée et c'est précisément   l'heure où Germaine, la femme de ménage nettoie les classes ! Ce bouleversement   la dérange dans son travail ; alors, entre deux coups de balai ou de   serpillière, elle participe aux cours et devient par ses répliques vertes ou   tendres, le personnage qu'il faudra particulièrement soigner ; le thème de cette   comédie est inhabituel et les enchaînements prévus ; on ne sait plus d'ailleurs   très bien à la fin de la pièce qui est l'élève et qui est le professeur   puisqu'au troisième acte, les rôles s'inversent. Sans grande difficulté, mais   jamais "bêta" ni déplacé, le texte est riche en "bons mots" à la portée de tout   public et équilibré entre les différents personnages.
     
    
      Saison 1997 : Mon fiancé est anormal (P. THARREAU)
      En quoi Roger Lauzier, fiancé de Micheline Lefèvre, peut-il être anormal ?   En vain s'efforcera-t-on de deviner tout au long des scènes inattendues de cette   amusante comédie. Pourtant Madame Hermance (tante de Micheline) est formelle :   les renseignements qu'elle a recueillis à Paris ne donnent lieu à aucune   équivoque : Roger Lauzier est un anormal avec qui il ne peut être question de   mariage. Micheline, qui a de sérieuses raisons de savoir son fiancé parfaitement   équilibré, se refuse à prêter l'oreille aux révélations de sa tante. Elle   commence par s'en amuser, mais voyant que sa propre mère, elle-même prend la   chose au sérieux, au point d'envisager une rupture immédiate, elle s'affole à   son tour. Tout finit pourtant par s'arranger, car on acquiert finalement la   certitude que le fait d'être "anormal" ne signifie pas forcément que l'on soit   atteint d'une infirmité. Bien au contraire !
     
    
      Saison 1997 : Plateau en folie (Gabrielle WOLF)
      Savourer cette étonnante et réjouissante parodie de "Tournez manège", où des   personnes qui ne s'accordent pas vraiment (et ne se voyent pas) tentent de se   séduire sans se connaître dans un jeu où rien ne va plus, ni les questions   posées, ni le présentateurs qui fait tout - sans y parvenir - pour conserver la   maîtrise !
     
    
      Saison 1996 : Sous les ponts de Paris (F. LAURENT et D. VILBERT)
      Cette pièce transporte le public dans le monde des clochards et le cadre est   bien sûr situé sous les ponts de la Seine ; Tintin et Fernand discutent autour   d’une bouteille de vin rouge quand Paluche, un autre clochard arrive poussant un   landau avec… un bébé à l’intérieur ! Quelle histoire pour les trois compères et   Mélie, la compagne de Paluche. Enthousiasmés, les trois amis font des projets   pour ce bébé que Paluche veut appeler Napoléon ! Et ils font des projets : il   sera chef de gare, dit l’un, amiral dit l’autre ou général dit le 3e ! Mais une   arrivée vient anéantir leurs rêves… Une pièce à mourir de rire, des comiques de   situation ; une pièce qui s’est terminée en chanson, reprise par l’assistance :   «Sous les ponts de Paris» applaudie à tout rompre.
     
    
      Saison 1996 : Les enfants sages (Paul VANDENBERGHE)
      Pièce truculente mettant en scène une famille française (bien de chez nous)   dont les deux enfants sont insupportables. Cette famille accueillera un étudiant   anglais dont elle espère un exemple de rigidité britannique. Elle ira de   surprise en surprise jusqu'à la fin de cette pièce car le jeune anglais mettra   le désordre dans des vacances déjà bien compromises.
     
    
      Saison 1996 : Permis de conduite à tout âge (P-J BONZON)
      Tonine est Gustine, deux vieille pleine de bonne volonté mais assez   simplette (voir la pièce "Clerc de l'urne") font une irruption pittoresque et   inattendue à l'Auto-Ecole, en plein cours de code, alors que le moniteur a déjà   fort à faire, malgré sa patience, avec des "élèves" assez peu doués et farfelus,   à l'instar de cette Mme Laplume qui tente de passer son permis pour la... 12ème   fois ! Bien sûr, la Gustine et la Tonine ne comprennent rien à ce "conduit de   permire" qui ne s'achète pas, ou plus exactement comprennent tout de travers, ce   qui engendre de cocasses malentendus. Ni les explications théoriques, ni les   travaux pratiques ne parviennent à les "mettre dans le coup". Désespérant ! Sauf   pour les spectateurs qui se régalent ! Les gags et les quiproquos s'enchaînent   en effet à un rythme ébouriffant jusqu'au coup de théâtre final que vous   découvrirez à la lecture. Sachez simplement que le moniteur s'est bien épuisé   pour rien. Le public sera, lui aussi, épuisé, mais de rire !
     
    
      Saison 1996 : Les médisances (Gabrielle WOLF)
      Une troupe de bonnes (mais vieilles!) copines se retrouvent pour boire le thé.   Elles parlent des autres, leurs voisinages, leur belle-famille, chacunes   trouvant un défaut à dire sur les personnages de leur sujet de conversation,   jusqu'à ce qu'elles se retrouvent prisent à leur propre médisances !
     
    
      Saison 1996 : Les tatasseries (Gabrielle WOLF)
      Deux femmes accompagnées de leur chien discustent sur un banc public,   regardant les gens autour d'eux et discutant du monde qui les entourent, avec   subtilité et une bonne dose d'humour...